Tri-Plan - les mondes de l'Intérieur

Extrait du Tome 1

Présentation :

Fruit de plus de cinq années de travail et de prières, je suis heureux de vous dévoiler enfin ce eBook tant attendu : Tri-Plan – Les Mondes de l'Intérieur.

Cet extrait n'est pas totalement représentatif de l'œuvre finale, mais vous pourrez néanmoins apprécier l'histoire contemplative de notre personnage principal. Le présent ouvrage, au format web, contient presque l'intégralité des deux premiers chapitres.

Je vous souhaite à tous une excellente lecture. Vous pourrez très prochainement retrouver le livre complet au format eBook via le lien en bas de page, ainsi que sur le site Kobo.

CHAPITRE 1

La rosée du matin, rendait les feuilles du figuier luisante de part les rayons du soleil qui traversaient les gouttelettes d’eau, le Contemplateur se leva en direction du beau fruit de cet arbre, l’observa d’un œil fasciné,

regarda le paysage lointain qui s’offrait à lui, se retourna et voyant la merveilleuse création assise dans le creux de l’arbre d’où il était venu, revint s'asseoir auprès d’elle.

Bonjour chers lecteurs/lectrices, je me nome Christophorès « celui qui porte l’élu » , mon histoire commence par une citation ; un jours,

j’ai entendu un homme dire :

« Il y a en chacun de nous un chemin caché et rarement parcouru menant à un endroit secret et inconnu ». 1

Cet homme, je l’ai contemplé car j’aime voir dans les cœurs inspirés de belles pensées et il m’a donné envie, d’aller voir plus loin, alors je fus saisi d’une grande joie comme celle des fleurs qui poussent au printemps en certains endroits.

- Bon Ok là ! Tu te dis peut-être, « mais qu’est ce que c’est que cette auteur qui parle avec un langage poétique cela va t'il durer tout le long de ce roman ». Non ce n’est pas le cas, loin de là vous allez voir.

En vérité moi Christophorès ou vous pouvez m’appeler Chris pour faire simple, je suis un

« MegaHomo-CherubiaChristos » ou simplement,

« Homo-Cherubia », nous sommes des êtres originaire du Troisième Plan ;

à contrario, je vie sur le Deuxième Plan, parmi ceux qui ne sont guidés que par leurs émotions charnels et perverses, enfin ça ce sont des

sujets que, j’approfondirais plus tard, attention, ne disant pas que c’est mon cas pour le côté pervers, nous sommes en gros des êtres célestes semblable au Divin et entre nous, on se surnomme parfois les

« Contemplateurs ».

Revenons à nôtre monsieur du départ que, je disais contempler avec sa fameuse citation sioux, justement ça tombe bien il est de la nation Sioux,

car oui dans la contemplation, il n’y a pas de temps, nous allons ensemble nous intéressé, si ça vous dit, à cet Homme, n’étant qu’un enfant pour l’instant, à son histoire et nous en verrons d’autres par la suite, vous verrez qu’étrangement leurs vies collent à la mienne ; c’est fou comme le monde est petit, ou alors non, grand, très Grand surtout à l’intérieur…

Nôtre amérindien vie en l’an 1561, faisant partie du groupe des Dakotas ou Isantis et de la tribus des Mdewakantons, ces derniers habitent sous des huttes, chasse de petits gibiers, domptent et élèves des chevaux sauvages et la tribu, gardent un grand troupeau de bisons.

Avec sa sœur ils chassaient en lisière de forêt :

- Chrenawa viens par ici, il y en a un gros par là, sûrement un mâle vu les traces.

- Oui ma sœur j’arrive prépare les pièges en attendant près de ce “buisson ardent”, je vais le pister.

Chrenawakelone est son prénom entier : « un flambeau dans la nuit », suivait les traces de ce qu’il pensait être un renard, le petit chasseur peu expérimenté faisait davantage confiance à son instinct qu’à son observation, car les empreintes était pour lui trop peu distinctes,

il marchait doucement et accroupi en passant derrières les buissons et les arbres quand, le vent était dans son dos, et ce premier quand il était en face ; il allait un peu plus vite, espérant tromper l’odorat des animaux, en évitant de marché sur les cailloux et les branches pour faire moins de bruit.

C’était une belle journée de la fin du printemps, le paysage dans lequel il se trouvait, était à demi ensoleillée sous les pins et les érables de plus en plus nombreux, le sol était tantôt une légère pente, montante, parfois fait de petites cuvettes, et semblait aller de plus en plus en altitude, on entendait le rossignol chanter, il n’était pas encore la troisième heures du jours, et les insectes volés (lévités) ;

abeilles, bourdons, mouches et autres diptères, à la rencontre des fleurs et les uns des autres pour l’accouplement propre à cette saison, les buissons en grand nombres, de toutes sorte d’arbustes, semblaient moins colorés au fur à mesure qu’il avançait, qu’à la lisière de la forêt. Sa sœur étant un peu en arrière, ils s'enfonçaient tous deux dans les bois.

Après une bonne demi heure de pistage il aperçut au loin une silhouette sur une colline qui passa rapidement, sans doute le gibier tant attendu,

Le jeune homme saisit son arc, sort une flèche de son carquois enduite d’une huile soporifique, en vérité ils ne chassaient pas les renards premièrement pour leurs viandes, mais pour la fourrure et les rituels chamaniques.

À une centaine de mètre de là arriver presque en haut de la colline, il entendit un bruit dans les buissons, baissant les yeux il vit que les traces convergèrent vers cet endroit alors, rapidement et le plus silencieusement possible il pris un appât dans sa sacoche et l’envoya à droite du buisson en question qui se trouvait à environs dix mètre de lui, prit son arc, le bandat et patienta ;

environs trente secondes plus tard un petit animal sorti enfin en se dirigeant vers l’appât, en une seconde le jeune

Chrena ce dit « enfin je vois ma proie » ;

mais malheureusement ce n’était qu’un lièvre apeuré, qui détalait à toute vitesse il aurait peut être pu essayer de le tirer, mais il allait bien trop vite pour lui et étant trop déçu, abandonna l’idée.

Le souci c’est que, si ce lièvre n’avait pas eu peur du chasseur, de quoi avait-il eu peur alors, tout juste remis de son affliction, la surprise ne se fit attendre,

se retournant, d’un coups d’œil désespérer, guettant au loin pour trouver sa sœur, il vit un « grand chat d’argent » (un lynx) lui fonçant dessus,

heureusement sa sœur Damehlosika, après qu’elle ait mis en place plusieurs pièges à renard le surveillait de près, étant un peu plus haut sur la droite de son frère, elle courut rapidement, prit son arc et décocha une flèche sur le flanc de l’animal qui bondissait sur son frère et en plein saut le toucha ! Chrena eut le réflexe de se tourner en lui mettant un coup de coude, pour dévier la charge, et le repoussa.

Le félin blessé s’enfuit vers la forêt, Damehlosika accouru vers son frère, Chrenawa encore tout essoufflé dit à sa sœur

« on aurait… peut-être, dû le poursuivre ? »

Elle lui répondit que non, qu’il les avait sans doute attaqué pour protéger ses petits non loin de là, que de toute façon “elle” (oui car c’était sûrement une femelle) se remettait de ses blessures car elle n’avait pas bander assez son arc pour la frapper mortellement.

Ils prirent alors le chemin du retour en vérifiant au passage, si un renard ne s’était pas pris dans un des pièges, car les renards aime c’est buissons ardents plein de fruits jaune vif et très odorant…

Un et deux et trois pièges, quatre et des traces de pattes mais pas de renard.

ils commençaient à désespérer d’un totale échec pour aujourd’hui, et au dernier buisson, le septième ils trouvèrent un renard qui, se débattait coincer dans le collier étrangleur,

Chrena le piqua de la pointe de sa flèche assommante et l’animal s’endormit après un moment, ils prirent la route pour rentrer au village.

Les grandes murailles de bois devancées par de belles ronces en fleur, était visible de loin, le village était comme un grand jardin fermé par des remparts, il y avait des arbres fruitiers de toutes sortes à l’intérieur près de la muraille, des massifs de fleures, une rivière séparait le village en deux

du Nord au Sud et au centre Est du village était rassemblé l'amas de hutte, avec au centre du centre la « maison du chef » et au fond la hutte du grand chaman,

à l’ouest du village se trouvait d’un côté plus proche du sud, des parterres d’aromates, de fruits et de légumes, de l’autre côté des ronds de chevaux (enclos circulaires renfermant les chevaux encore non débourrés) et plus proche de l’entré des abris pour les chevaux des chasseurs de bison et des guerriers ; à l’extérieur le village est entouré de quelques champs de maïs, de prairie et se termine sur le wakantons

« lac sacré » au Sud, dans lequel se jette la rivière d’eau vive qui le traverse et au Nord, bien sur la forêt.

Le frère et sa sœur rentrés à la “maison” racontèrent leurs histoire en riant avec leurs mère et leurs frères et sœurs, Damehlosika expliqua comment son frère confondit les traces d’un lynx avec celles des renards,

tous se mirent à rire, le grand frère lui dit :

tu fais un piètre flambeau dans le jours alors qu’est ce que ce sera quand tu devras nous éclairer dans la nuit, tu es encore loin de marché dans ton Nom ahahah !

Ils ce dirigèrent par la suite vers la hutte du chaman pour le rituel sacrificiel, quand le vieux sage sortit et dit à Chrenawakelone

« seulement toi jeûne chasseur, ta sœur est déjà venu la ou tu dois devenir » la jeune sentinelle de la forêt lui fit signe qu’elle comprenait, le jeune homme entra alors sous la hutte avec le renard endormi dans les bras,

le vieillard lui fit signe de le poser sur un petit autel, il l'égorge (marque des sioux, à titre d’exemple, les cheyennes taillades un membre supérieur jusqu’à l’os et les arapahos la truffe ou le nez) en remerciant le grand esprit et l’âme de l’animal,

puis il prépara une décoction à base de plantes et y ajouta le sang du renard, il dit à Chrena de prononcer la prière suivante,

« comme la foudre qui tombe et la pluie qui arrose nos champs, utile et vive est mon esprit au dedans, » alors il lui ordonne de boire.

Aussitôt bût, sa tête se mit à tournée par le goût très fort des plantes premièrement, ensuite sa réflexion était brouillée à cause des hallucinogènes qu’elles contenaient, devant ses yeux lui apparut comme un nuage blanc et il tomba en transe, le vieux sage le rattrapa et le mis doucement au sol allongé sur un tapis de peau ;

la vision du jeune amérindien s’ouvrit dans un lieu désert ou le sable et les rochers dominaient, petit à petit des buissons et des arbres apparurent laissant place à une forêt en hiver, un loup s’approcha de devant lui et lui fit signe de la tête de le suivre, ils s’avançaient tous deux dans les bois de plus en plus

profond et vire tout à coup les torches d’un village au loin, cela ressemblait en rien de ce qu’il avait déjà vu, le loup commença à lui parlé avec une douce voie de femme (la louve) :

« suis moi je vais te montrer quel est le mystère

de ce village inconnu »...

CHAPITRE 2

ΧρvtCo456EmSlu.. ΧρvCist45phomSlrès...Сhristo5horès…. Chris ! Tana !

Mcenl.Ébneil..cja.cji.. Éveil toi, tu étais encore en train d’intercéder pour le jeune amérindien !?

Tu rentre tellement en profondeur dans l’Esprit, que tu en oubli les fruits que tu dois porter ici me dit ma femme, elle me rappela que, je devais aller glaner dans la forêt pour la génération à venir et leur montrer la voie.

Nous les Homo-Cherubias du deuxième plan, sommes ici pour garder cette titanesque forêt du

« Cercle du futur »2, apporter un équilibre dans ce monde en grande partie corrompu et guider nos enfants sur le dessin qui se forme en eux.

Nous vivons dans les arbres géants relier entre eux par des ponts végétales, nôtre mode de vie est complètement différent de n’importe quels autres êtres conscients ;

ce qu’il faut savoir, c’est que nous vivons éternellement, certains d’entre nous sont née/apparue directement sous la forme adulte, par transcendance et d’autres sont nées parmi nous par voie basse formé dans le ventre de leurs mères Cherubienne, ça n’a pas toujours été ainsi,

pour ma part, c’est un peu différents nous verrons cela tout au long de mes intersessions, tient d’ailleurs c’est quoi

« l'intercession » c’est l’action de contemplé et la contemplation, c’est le fait de regarder par l’Esprit, dans l’esprit d’une personne et donc, dans sa vie, son quotidien, même jusqu’aux profondeurs de son cœur afin de pouvoir l’aider s'il le faut à trouver la voix du Très Haut.

Personnellement après de nombreuses années, je suis arrivé au stade Ultime, je suis pour être exacte un

UltimeMegaHomo-CherubiaChristos c’est à dire un humain transfiguré arrivé à la pleine stature de l’Unique – cent ans après le stade d’adulte ;

pour ceux qui naissent parmi nous, il y a trois grandes étapes partager en trois transformations pour ensuite arriver à l’âge adulte (MégaHomo-CherubiasChristos).

– Cela prend environ deux siècles, nous mangeons très peu comparé aux autres races, dans nôtre jeunesse.

– Homo-FelinarChristos, environs une fois tout les trois ou quatre mois et surtout des fruits, beaucoup et de toutes sortes puis au fur et à mesure.

– HomoFelinArac-Christos tous les cinq, sept mois et on commence à manger de la viande etc.

Adulte.

– … Nous consommons un peu plus de viande et seulement quelques fruits et légumes tous les sept à douze ans selon la quantité absorbée des années passées.

Aujourd’hui ça tombe bien ma femme ma secouée, pour aller cueillir des fruits et initié les jeunes à la chasse et la capture de nos bêtes préférées.

- Lemasha’Ya appel tes frères et sœurs, on va sortir dis-je à mon aînée.

Tous attentifs et curieux, ils se présentent à moi, je leurs dit « allez suivez-moi ».

On saute de l’arbre tous ensembles. Nôtre vision et comme ralenti, il nous faut environs huit secondes pour arriver en bas des 550 mètres du

figuier géant, cela ne m’empêche pas de voir la grosse libellule passé près de mon oreille gauche, ou encore ces majestueux chênes au tronc

argenté haut de plus 800 mètres, changeant à mesure que je descend, je vois les feuilles du plus proche, elles sont d’un vert azuré, passant du kaki pour aller vers le fauve, et devenir brune à rougeâtre, au fil de ma descente, c’est comme voir toutes saisons sur un seul arbre,

chez nous il y en à sept :

l’Hiver, qui est froid et nappé de champignons géants, cette saison à l’allure d’un automne sec, parfois enneigés, parfois humide et ou l’on peut toujours voire quelques feuille orangées à marrons ;

le Printemps, comme on le connaît toujours sur Terre, les feuilles s’ouvre et oui tout comme les fleures, les insectes butineurs sorte d’entre les pétales

et ça et là dans les prairies et les prés toutes sortes d’animaux parades ;

le Printemps-Automnal, comme je l’ai contemplé un jours en ce lieu qu’on appelait Catalogne Nord, il y fait doux, les couleuvres sortent pour chassées des grenouilles et la pluie est abondante, les gouttes d’eau bien chargés mais ce n’est pas encore l’été, les fleurs ce sont refermé attendant que la pluie ait cessée ;

l’Été, chaud mais jamais sec, sauf dans les rares déserts et les montagnes rocailleuses, les myriades d’animaux petits ou grands sont vigoureux en cette saison, les fourmis plus rapides que jamais, les antilopes sautent avec vivacité, les poissons

frets encore en ce temps là et même les arbres sont à nouveaux en fleurs ;

l’Été-Hivernal, appelé ainsi à tort diriez-vous peut-être, car, il n’y fait pas froid, bien au contraire, c’est une chaleur sèche et presque sans vent, quand il y a du vent tout de même, celui ci est chaud, malheur au curieux qui voudrait sortir de sont nid, ou de sa maison entre 11h30 et 16h00, sauf les Slœrgaï (êtres intelligents, lézard-humanoïdes dont le nom signifie dans leur langue Slar : piégeurs des pensées)

nos ennemies sortent à ces heures si, d’ailleurs les arbres en ces temps ci, gardent leur feuillages flétris ;

l’Automne bien sur, humide mais moins que celui que connaissent les Faés, il est rempli d’agréable odeurs comme les aimes ma femme, pour elle c’est sa saison préférée, cela lui rappel les châtaignes avec les qu’elles, elle nous fait de bonne purée les jours ou l’on doit manger, il y vol un parfum d’herbe mouillé en permanence et la rosé du matin paraît durer toute la journée, on trouve de petits

champignons poussé sur les chênes ayant le goût de pommes trop mûre dans lesquelles on aurait déposé une framboise, le tout recouvert d’une

substance semblable au caramel, enfin la température est pour ma tendre épouse idéale ;

et un mois avant l’hiver, une curieuse saison, fait son apparition, le Printemps-Hivernal, les fleurs y repousse, c’est le cas

des plantes bisannuelles, et d’arbre comme le bouleau des comptés, la température avoisine dans la plupart des endroits les 24° Celsius, les êtres vivants amassent les dernières réserves de nourriture avant le froid et des bébés naissent encore à cette époque là.

Parmi toutes nos saisons, il y en a 2 qui durent 2 mois et demie : l’Hiver et l’Été ;

4 qui durent 1 mois et demie, ce sont, le Printemps, le Printemps-Automnale, l’Été-Hivernal et l’Automne ;

et enfin comme dit plus haut une d’un mois qui est le Printemps-Hivernal.

Nos muscles éthérico-organiques se dilatent et le sol touche nos pieds comme le feutre sur une feuille de papier.

Je rappel brièvement les règles de glanage et de chasse à mes enfants :

« premièrement nous prenons uniquement les fruits qui sont dans les arbres les plus haut y compris des figuiers, chênes et châtaigniers géants,

ensuite nous n’utilisons pas nos capacités spirituelles pour chasser ou capturer, sauf moi pour vous contempler et surtout nous tuons nos proie uniquement en leur tombant dessus depuis les arbres, nous pouvons les pistés seulement depuis le sol ».

- Si je vous rappelle ces deux règles, ce n’est pas une loi ou des choses à faire de manière dogmatique, c’est simplement ce que nous sommes, car nous respectons les autres espèces.

En effet mes chers lecteurs, nous autres, étant tellement conscient de la Puissance, de la Sagesse et de la Vie de l’Esprit en nous, les choses nous apparaissent comme dans un rêve ou nous avons pleinement le contrôle, enfin uniquement pour les adultes, les enfants et les ados on leurs imposes ses règles afin qu’ils arrivent justement eux aussi, à la même stature dans la connaissance intérieur.

- Courons et laissons nous guider par le Souffle, gardons nos sens en éveil ! Leur dis-je pour les motiver.

- Père, j’ai une question: que chassons-nous aujourd’hui ?

- Tu le sauras quand tu les auras flairé N’tholanaï.

- Tout d’abord soyez attentifs aux fruits les plus succulents et saisissez les à la course quand l’occasion se présente, le reste nous trouvera.

Nous étions six, mes enfants :

N’tholanaï le second, OuramèYahou et Davemakashow les deux fils jumeaux qui sont venus après lui, Slika’rhana la petite dernière, Lemasha’Ya l’aînée, que vous avez vu plus haut et moi-même.

J’aime la sensation quand je cours, je suis comme porter par le vent, je vais d’arbres en arbres, bondit sans effort, je dis que je vole, ma vision

est bien plus perçante que celle des aigles, bien plus fonctionnel que les pupilles des premiers vampires, pour vous donnez une idée, je peux voir ce que j’entends et voir ce que je sent, même ce que je goûte, mon odorat et des myriades de fois plus fin que celui des ours et cela, est semblable pour tout mes autres sens, que je peux, en plus fusionner entre eux et

ça ce sont que les capacités naturelles, donc imaginer les spirituelles ce serait un peu comme de la triche de les utiliser maintenant…

- Ouramè attrape la belle poire qui vient au-dessus de ta tête !

- Ou ça ?! Ah oui merci Lema, hey Slika’ contrôle ta vitesse, ne te laisse pas trop porté par le Souffle, tu pourrais rentrer en déplacement quantique façon de parler bien sûr.

- Ne m’appel plus comme ça s’il te plaît, je t’ai déjà dit que ça rappel trop l’animal, appel moi Lemasha’ si tu veux mais pas moins.

Et laisse Slika’rhana être inspirée par la grâce.

- Oui grande sœur, je vais faire attention.

- OuramèYahou tes paroles rappel celles des Vieux Inspirés quand, ils n’étaient pas encore sages ;

Lui dit son frère jumeau en riant.

Nous sommes dans un paysage il faut l’admettre, assez époustouflant et surprenant, il y a toutes sorte d’essences végétales, bien que ce ne soit

pas nôtre monde d’origine, il semblerait pour un étranger très luxuriant, à certain moment on se croit dans une zone tropicale avec des arbres

géants, une chaleur humide (qui ne nous dérange pas) mis à part qu’à la place des arbres typique, par exemple d’une forêt amazonienne on trouve des châtaigniers d’une taille démesuré et au troncs d’ambre à

doré, des robiniers faux acacia ou encore des chênes et figuiers géant comme on à pu le voir, pourtant à des milles de là on va trouver des

arbres qui eux sont bien présent sous les tropiques de vôtre monde, mais qui bien que conservant la même taille, on des feuilles souvent

enduite d’un épaisse mucus semblable à de l’huile de ricin est constitué de troncs et de branche aussi dur que le roc, mais encore à des millions

de là les paysages peuvent devenir véritablement surprenant avec pour

exemple ; des champignons allant jusqu’à 1,50 mètre de haut et presque

autant de large, de minuscule arbres de 20 à 30 cm ornés de grandes

fleurs au vive couleurs, et de sorte de plantes géantes dépassant les

trois mètres qui devrait au premier regard si on les voyait du lointain être

bien plus petite, elles ont de plus des allures d’être se mouvant, car leurs

tiges sortes de la terre en plusieurs segments, pour s’entrelacer formant

un aspect souvent humanoïde bougeant au gré du vent, et pour

couronné, le tout est sous la neige, à des températures en dessous de zéro.

Je dis à mes enfants :

- Ralentissez on s’accorde, aînée tu piste devant moi, j’intercède en toi, les jumeaux vous glanez dans les arbres avec vôtre petite sœur et faites attention à elle, Rhana tu peux manger si tu as faim car c’est ton jour,

N’tho suis moi de près et que ta vue soit comme les dragons volcans.

À l’allure où nous allons, nous traversâmes le temps et l’espace comme dans un rêve ; en quelques secondes une forêt de séquoias apparue donnant une secondes et demis plus tard sur un oasis comme si tout à coup on avait basculé dans un désert,

ce dernier était entouré de sable chaud et en son centre une tourbière,

rempli de batraciens et de belle plantes violacés apparemment carnivores.

Passé quelque minutes à courir comme le vent, nous sommes dans une

jungle remplis de fougères, de petits palmiers, de grand eucalyptus

atteignant 100 mètres de haut, et d’arbres semblable aux ifs (que nous appelons Blenaskiess – les mangeoire d’insectes) par leurs formes mais

non par la couleur, leurs tronc est rouge bordeaux et les fruits jaunes vif,

le sol est couvert d’une épaisse herbe grise, et j’aperçois entre ses brins,

des fourmis tranquilles à la tête noir comme l’ébène, le thorax bleu saphir et l’abdomen d’un rouge rubis, elles ceux suivent comme les wagon d’un train, transportant fruits et autres graines des arbres et plantes alentour.

Je senti quelque chose :

l’odeur était comme la sauterelle sur le lys en été, pas de doute, je vis en

ma fille que c’est un lanceur varanaterium, (des gros lézards)

il doit y avoir une tribu proche, les traces se dirigent vers l’ouest.

« On les suit ou on cherche une proie plus nourrissante » me demanda

Lemasha’Ya,

je lui répondis qu’il vos mieux saisir la grâce quand elle se présente,

c’est ça ce laissé guidé par le souffle entre autre, nous reprendrons la

chasse après.

Les varanateriums sont des reptiles très intelligents, mais que

partiellement conscient un peu comme les grands singes de la Terre, nous les apprivoisons pour qu’ils gardent nos potagers au sol et pour en même temps mieux les protéger c’est une grâce pour une grâce, c’est nôtre nature.

Ces animaux vivent en groupes plus ou moins important, pouvant aller

jusqu’à deux centaines d’individu, comparer à eux, nous vivons par

millions dans chaque « villes arbre » d’où l’importance pour nous de les capturer, ce que nous cherchons c'est leurs chefs, le couple dominant,

puisque vous l’avez deviné si on l’attrape on les a tous héhé ! Celui que ma fille à flairer, fait parti d’une caste qui lance des javelots et qui

protège en priorité les alpha, ils sortent parfois en éclaireurs pour

prévenir la tribu d’un danger, car ce n’est pas ce qui manque ici.

- Oh tien un raptor à environ quatre cent-cinquante mètres, on y va !

S’exclama Slika’rhana.

- Chut il va t’entendre sœurette lui dit Ouramè.

- Bah il ne peuvent pas nous entendre, nous ne parlons pas sous la même fréq…

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